Dans le domaine de la santé, les tests jouent un rôle primordial dans la validation du dispositif. En effet, avant la validation de quelconque produit médical, on a deux grands types d’évaluations : L’évaluation formative qui permet de savoir quoi faire pour améliorer le produit, et poser des évolutions sur un prototype. L’évaluation statistique: C’est la partie qui repose sur la validation. Étude de l'utilisation du produit vis -à -vis des risques d’usage. C’est cette deuxième partie que les clients ont tendance à être surpris quand on aborde le sujet. Ils pensent savoir ce qu’un test utilisateur comprend alors que ce n'est pas si simple que ça, ils restent bloqués à l’évaluation marketing jusqu’à ce qu’ils viennent observer un test derrière la glace en tant qu’observateur. Ils sont très étonnés qu’on mette les utilisateurs en situation, qu’on ne les aide pas et qu’on ait des critères de notations sur chaque consigne du test. (et les risques au niveau du protocole) Eux dans leur tête pensent qu’on va demander aux utilisateurs: “ Alors, vous en pensez quoi ? “Il faut absolument s’assurer qu’on construit les protocoles et des consignes dans des situations réalistes de test d’une action ou d’une fonctionnalité qui est reliée à un risque et que tu vas pouvoir évaluer ce risque. Au début de l’engagement, même si le client nous ramène une liste préliminaire des risques, nous gardons toujours 2 jours pour une relecture des risques en faisant notre propre analyse, car par expérience, je sais que cette dernière n’est pas complète. L’avantage, c'est qu'après 7 ans d’activité, on a fait tous les types de produits, donc on a une nomenclature de risques assez complète, ça nous permet de voir rapidement s'il manque des risques ou pas. Nous sommes capables d’anticiper les manquements. Car si l’organisme de notation produit ne retrouve pas la liste en question, il dira au client: “ Ce n’est pas normal de ne pas avoir ces risques”Puis mettra une non-conformité aux exigences requises. (donc produit bloqué) Souvent le client traine les pieds pour faire cette relecture critique de l'analyse des risques d'usage ou de la rédaction de cette analyse des risques. Mais souvent après nous remercie après car on met en valeur des choses qu’il n’avait pas mis en avant, ou on le prévient de problèmes, car il a oublié des risques importants à prendre en compte dans la conception ou des choses dans son cycle de vie produit. Tout ce travail en amont nous permet de baser notre protocole de test sur les risques, en définissant les scénarios que nous allons évaluer, et les autres que nous n’évaluons pas. (tout est justifié)
Anonyme
· Co-fondateur d'agence d'ergonomie
· il y a 1 an
Quand on intervient sur un produit de santé, il ne faut pas oublier que c’est un dispositif médical, ou un médicament etc. Mais l'importance, c'est de savoir qu'il y a souvent une réglementation associée.J’ai vu plusieurs cas où les prestataires arrivent et oublient complètement l’objectif du produit. Ils se concentrent sur l’aspect créatif du job, ce qui est tout à fait normal, mais dans le domaine médical, la créativité vient en second lieu, après la question de gestion des risques.En priorisant la créativité ça devient un travail de surface, et la norme n’existe pas pour rien.Si ton interface est trop complexe ou pas optimale, les problèmes d’usages vont entraîner une perte de bénéfice du traitement ou des problèmes bien plus grave. Donc c’est embêtant, surtout lorsque tu imagines des cas comme la chimiothérapie. (dont les irradiés d’épinal) C’est l’erreur majeure que je vois en repassant derrière des prestataires qui ne sont pas dédiés à la santé. Ce sont des situations compliquées à deux niveaux : Au niveau du produit, toute une partie a été oubliée et rend l’utilisation du produit dangereuse et pas finalement pas si user friendly car non adapté aux différentes catégories d’utilisateurs finaux (connaissance du monde de la santé). Puis pour le client, normativement ce n'est pas terrible. Même si le boulot a été fait d’un point de vue expérience utilisateur, le lien avec les risques d’usage n’a pas du tout été tracé, et pas fait selon les règles des auditeurs. Alors ça induit un risque business fort, car les auditeurs ne transigent pas. C’est du travail en plus pour le client qui se fera bloquer, et ils devront refaire des choses. Dans ce genre de cas le client arrive en disant: “Si on a fait appel à vous ce n’est pas pour tout refaire derrière”.La norme, ce sont des obligations légales (une dizaine, qu’il faut connaître) qui faut retrouver, puis des recommandations. En fait, il faut rendre un dossier technique concernant la maitrise des risques reliée au dispositif. Pour l'ergonomie et l'expérience utilisateur, c'est les risques d'usage mais il existe beaucoup de catégories de risques. Il faut les identifier et les évaluer lors de la conception du dispositif et continuer une fois sur le marché. Ce sont des exigences fortes pour lesquelles le fabricants est audité par des organismes notifiés et il risque le retrait de son dispositif du marché. Les tests utilisateurs en santé: ce sont des tests utilisateurs bien différents. Ce ne sont pas des tests utilisateurs où tu remontent ce qui marchent ou ne marche pas, mais des tests statistiques. Tu as les tests formatifs au cours de la conception qui ressemblent à des tests utilisateurs classiques où l'on va identifier les irritants, les problèmes d'ergonomie, la satisfaction etc. et proposer des recommandations d'évolution. Par contre, ce qui est nouveau dans le monde de la santé c'est l'étape de validation (évaluation sommative) qui est également sous forme de test utilisateur. La différence c'est que les consignes de test permettent de mettre en situation le participants pour qu'il rencontre le risque (ou pas) de manière simulé. Dans ce cas, on rend des résultats centrés risque sans recommandation. On dit juste que pour tel ou tel risque, on à 80%,90%,100% de réussite. C'est à dire autant de personne qui n'ont pas commis l'erreur et rencontré le risque. Tu mets les utilisateurs en situations de risques, et tu observes les situations d’échecs à différents niveaux. En fonction de ces échecs, tu fais des statistiques d’usages, tu expliques le comportement et tu conclus sur l’utilisation de ton produit vis-à-vis des risques d’usages que tu as identifié dans le cadrage.
Savoir éduquer son client sur le planning est un art. En fait c'est plus large que le planning. Je parle de l'art d'éduquer le client.La raison pour laquelle je dis que ce soft skill est un art parce que ça prend du temps à l’acquérir. Je connais des ergonomes très expérimentés qui n'arrivent toujours pas à refuser des plannings irréalisables et acceptent tous les plannings venant des clients. Pour agrémenter un peu. Je pense que le client sait très bien que le planning n'est pas vraiment possible. Pas forcément sur les dates de réalisations mais sur le start projet. Je vois encore trop souvent des clients qui pensent que l'on va démarrer un projet la semaine suivante après la signature. Si on fait le retour que non, souvent ils n'insistent pas, ils comprennent très bien mais beaucoup n'osent pas. Les répercussions sont énormes puisqu’en acceptant un tel planning, on met toute l’équipe sous pression. J’ai observé des situations où certains seniors ont la crédibilité de s’engager auprès du client. En réunion, ils répondent du tac au tac, acceptent son planning sans se concerter avec le calendrier et la charge de travail de l’équipe et ça crée des situations intenables pour le client, l’équipe, et l’agence. Ca arrive aussi sur des dates de rendu de livrable. "Vous finissez les tests Mardi? C'est possible d'avoir le rapport fin de semaine? “
L’une des erreurs que j’ai commises dans ma carrière, c'est de ne pas savoir amener la mission aux clients. Avec du recul, je pense que je faisais uniquement cette erreur au début de ma carrière car je ne participais pas à l'aspect commercial. Je pense que dans le fond, je me disais que ces éléments avaient été discutés en amont, mais les interlocuteurs changent entre deux... Ce n’était pas du tout le cas. En effet, quand on est jeune, on a tendance à vouloir juste se concentrer sur ses tâches sans faire de liens avec d’autres membres de l’équipe et sans se mettre dans une position où il faut cadrer la mission.Je pense que cette méthode de travail marche encore moins aujourd'hui qu'elle marchait il y à quelques années. Aujourd’hui, on s’attend à ce que tu sois capable de débloquer les situations et de trouver des solutions. Donc les enjeux sont plus forts et l’attente des clients est encore plus pesante. Si on arrive la fleur au fusil, sans comprendre le blocage et sans comprendre ce qu’on va apporter, alors on est certain que le projet coincera quelque part. L’un des exemples qui me vient à l’esprit est la fois où j’ai travaillé sur la refonte de maquettes pour des médecins. Pour être plus précis, je n'étais pas très bon au départ sur la conduite du changement, car j'étais focalisé sur la plus value de la nouvelle interface (sans forcément oublier ce qui marchait bien sur le produit actuel). Ce que j'avais clairement sous estimé, c'est les personnes qui se sont investi pour apprendre à utiliser l'ancienne version + les demandes d'évolutions acquises etc. Mais une chose est sûre, même après des années d’expérience, je commets encore des erreurs. Récemment, j’ai eu un client qui est venu chez nous, après avoir fait une première tentative de conception avec une autre agence. Mon erreur était de ne pas me méfier et de ne pas me demander pourquoi ça n’avais pas marché avec l’autre prestataire.Avec du recul, je pense que quand on enchaine les missions qui se passent bien et les réussites, on baisse notre vigilance aussi... Bon je nuancerai un petit peu, je dirais que ce n'est pas totalement la faute du prestataire et que le client avait également sa petite responsabilité. Même si aujourd’hui je travaille encore avec ce client, cela a nécessité beaucoup de réajustement et de travail supplémentaire, car je n’avais pas été vigilant au début de l’engagement.
UserOnboardIl y a un designer (Samuel Hulik) spécialisé onboardings qui a eu la gentillesse de collectionner ses reviews d'onboardings sur ce site. Beaucoup de commentaires du designer (pensez 85 slides pour un onboarding), tout n'est pas très récent. https://www.useronboard.com/user-onboarding-teardowns/ Julia
Car il faut aussi bien des inspirations pour les mailings ! Plutôt cool : des previews sur différents supports (iPhone, Outlook...) https://reallygoodemails.com/ Julia
Land-bookGallerie de landing pages, bien taggé pour trouver son style et secteur. https://land-book.com/Landing Page Ninja3000+ ressources gratuites, ainsi que des UI kits et des manuels téléchargeables. https://www.lapa.ninja/ julia
Briefbox Newletter où on peut recevoir des briefings et des astuces pour prendre en main l'UI design (gratuit). Il est également possible de suivre des cours et d'être mis en relation avec des mentors (payant). https://www.briefbox.me/Case Study ClubRessource avec newsletter bien pratique pour des case studies. https://www.casestudy.club/Checklist designPas vraiment des tutoriels, mais comme le dit le titre on y trouve des checklist pour la création des features/écrans différents (login, darkmode, boutons, etc). Donc bien utile quand on veut se mettre à un nouveau sujet UI. https://www.checklist.design/Degreeless DesignSite du designer Tregg Frank, qui a regroupé "tout ce qu'il a appris". Une belle ressource personnelle. https://www.degreeless.design/Design Principles Ressource open source avec des principes (valeurs) du design d'une bonne centaine de produits. https://principles.design/Design+CodePour les designers qui veulent se mettre au code, ou vice versa. https://designcode.io/DesignBetter.coGuide publiée par InVision sur comment rapprocher le développement et le design. https://www.designbetter.co/DesignerUpCours payants pour s'autoformer. Prix d'accès $297 à payer une fois pour un accès permanent. https://designerup.co/Flux - chaîne YouTubeChaîne YouTube bien suivie, avec tous les grands sujets du design et des case studies. https://www.youtube.com/channel/UCN7dywl5wDxTu1RM3eJ_h9Q/featured?ref=designresourc.esGoogle Material DesignLes principes du material design. https://material.io/Growth.DesignQuand on a la flemme de lire des articles sur Medium... ce site offre des études de cas en format bande dessinée ! https://growth.design/case-studies/Humane by DesignDes principes et best practices pour un design éthique. https://humanebydesign.com/Laws of UXListe de 20 principes à consulter, avec les sources et liens vers des articles sur les principes. https://lawsofux.com/Learn Mobile DesignUn site qui regroupe des ressources sur le mobile design. https://learnmobile.design/Les tutoriels Webflowhttps://university.webflow.com/courses Webflow a toute une section pleine de tutoriels non seulement pour apprendre Webflow même, mais aussi des sujets comme : les débuts du webdesign, animations sur AfterEffects, travailler en freelance, etc. Les vidéos design de AppleCar ça vaut toujours la peine... https://developer.apple.com/videos/Les vidéos YouTube de FemkeFemke, product designer chez Uber, la YouTubeuse de l'UX. https://www.youtube.com/channel/UCWUGGwfTfJ0-2jUS3dZqOJA/videosNielsen Norman GroupLe site éternellement du NN Group tient toujours, et reste une superbe ressources pour tous les enjeux recherches UX. https://www.nngroup.com/Productdesign.tips Add-on pour Chrome ou Slack qui donne des astuces au quotidien. https://productdesign.tips/Shortcuts DesignToutes les commandes clavier pour tous les outils UI ! https://shortcuts.design/ Julia
Absurd DesignBelles illustrations éditoriales "absurdes". Téléchargeables gratuitement. Don possible. https://absurd.design/AvataaarsFichier Sketch avec 16 avatars à télécharger. https://avataaars.com/Avatarz Design Ne pas confondre avec l'autre librairie assez proche, mais c'est une librairie complète de plus de 8000+ combinaisons d'avatars 3D. https://www.avatarz.design/Blush Plugin avec une bibliothèque d'illustrations d'une douzaine d'artistes différents, customisables. https://blush.design/Charco16 illustrations gratuites (don possible) par le designer Karthik Srinivas https://www.karthiksrinivas.in/charcoControlLibrairie avec des illustrations orientées actions / séquences. https://control.rocks/DrawKitSets d'illustrations et icônes, parfois avec animation https://www.drawkit.io/Handz Librairie gratuite d'illustrations 3D totalement customisable sous Figma, photoshop, illustrator ou XD. Pratique! https://www.handz.design/HumaaansLibrairie d'illustrations très customisables, à télécharger ou à utiliser avec Blush. https://www.humaaans.com/Illustrations.coCatalogue tiré d'un challenge de 100 jours en illustration. Open source, svg et png. Qualité variable. https://illlustrations.co/Open PeepsTrès belle collection d'illustrations style BD avec des personnalités entièrement customisables. https://www.openpeeps.com/OuchGrande base de donnée d'illustrations avec des illustrateurs référencés sur Dribbble. Accès gratuit pour des png en qualité réduite. https://icons8.com/illustrationsunDrawIllustrations où on saisit la couleur HEX de thème avant téléchargement. https://undraw.co/illustrations404 IllustrationsVos pages 404 ne seront plus les mêmes... Une petite sélection qui est sensée de grandir. https://error404.fun/ Julia
Un outil sympa qui offre une libraire de loader sur React, Vue, Angular ainsi que la possibilité d'uploader un svg directement et d'exporter le code de ses composants. https://skeletonreact.com/ julia
DesignerHunt . Si vous cherchez de l'inspiration par designer. Le site regroupe les pages profil sur Behance, Instagram, Dribbble, etc. https://www.designerhunt.io Pour de l'inspiration pour son site portfolio ou même CV, ou études de cas. https://www.bestfolios.com/ Julia
AwwardsUI évalué par un jury, ressources taggées. https://www.awwwards.com/BehancePour trouver et suivre ses designers préférés. https://www.behance.net/Bestwebsite gallerySélection de sites web + liens vers des ressources news UI. https://bestwebsite.gallery/Collect UI Collection éditoriale, un peu un fourre-tout selon le principe du design challenge. http://collectui.comDark Mode designEnfin une ressource dark mode ! Le site offre des liens uniquement, pas d'infos supplémentaires. https://www.darkmodedesign.com/HttpsterJoli site d'inspiration, tag par secteur d'activité. On peut y proposer des designs. https://httpster.net/Nicely donePlein d'inspiration UI (surtout) web/desktop par secteur. https://nicelydone.club/One Page Lovehttps://onepagelove.com/PandaAdd-on pour Chrome, similaire à Muzli. https://usepanda.com/scrnshts Sélection de présentation d'écrans mobiles dans le App Store par le designer parisien Thomas Vimare. (Il explique ce projet sur cet article Medium : https://medium.com/@vimarethomas/discover-scrnshts-club-31d09e6b577c) https://scrnshts.club/SiiimpleGalleries CSS avec des designs à upvoter. Par contre ce n'est pas très clair si le site est toujours à jour (pas de dates et les sites semblent avoir changé par rapport à leur présence dans le catalogue). https://siiimple.comsiteInspireCatalogue de sites pratique, car il permet de chercher par domaine d'activité, plateforme et style. https://www.siteinspire.com/UI Movementhttps://uimovement.com/ Inspiration animée avec une option newsletter. UI SourcesCommunauté avec option pro payante pour pouvoir chercher sur des patterns plus pointus (onboarding, pop-up, etc). Plus besoin de s'inventer la roue ! https://www.uisources.comUIJarSélection éditoriale avec des styles bien différents. Très beau ! https://uijar.com/
Adobe ColourFlux de palettes, illustrations et photos par gamme de couleur https://color.adobe.com/fr/exploreBrandColorsListe alphabétique de couleurs par marque https://brandcolors.net/Color ClaimInspirations par le designer Tobias van Schneider (Allemagne) https://vanschneider.com/Color HuntPlateforme gratuite et extension Google Chrome avec un flux de différentes palettes de couleurs. https://colorhunt.co/Color SafeDes palettes accessibility friendly! http://colorsafe.coColorinspoPalettes de couleurs, couleurs "solides", gradients, couleurs par marque, inspirations, tutoriels, etc. C'est plutôt riche ! https://colorsinspo.com/ColorSparkGénérateur de couleurs et gradients (pas de palettes) https://colorspark.app/Coolors.coGénération rapide de palettes de 5 couleurs https://coolors.co/CulrsSite gratuit et app pour Mac. On filtre les palettes par schéma de couleurs (analogue, triad, monochrome, etc). https://www.culrs.com/Duo (UK)Sélection manuelle de matchings de couleurs, filtrables par accessibilité, par le designer British Alex Pate. https://duo.alexpate.uk/Eva Color GeneratorGénérateur de couleurs par le deep learning. On saisit une couleur primaire et une palette (exportable) est proposée. https://colors.eva.design/Happy HuesDes palettes de couleur affichées en contexte https://www.happyhues.co Khromahttp://khroma.co/ En beta. On choisit 50 couleurs en préférence et un algorithme propose des palettes. LOL ColorsPas très sûr pourquoi ça s'appelle LOL mais une sélection de palettes de couleurs assez jolie. https://www.webdesignrankings.com/resources/lolcolors/ Julia
Shape.so Icônes (voire plutôt des illustrations) très customisables. On paie une fois un montant de 109€ pour avoir accès ou sinon il y a un accès limité après sign-up. https://shape.so/ IconoirLibrairie d'icônes svg dans 3 styles différents. On peut télécharger tout le catalogue ( 2059 icônes, 19$) ou des packs (9$). https://iconoir.com/IconfinderRessource payante : à la carte ou à partir de 9€ par mois. https://www.iconfinder.com/Font AwesomeGrande base avec quelques icônes gratuits. L'abonnement Pro coûte 99$ par an. Fourni de documentation, support et un blog. https://fontawesome.com/ Si vous utilisez une librairie qui n'est pas dans la liste, ajoutez-le ci-dessous ! Julia
The Noun Project3 millions d'icônes Open source et familles d'icônes (tout en noir), tout format avec licences différentes. https://thenounproject.com/BoxiconsPresque 1500 icônes material en open source, téléchargeables. png, svg, html https://boxicons.com/CSS.GG Une superbe librairie de plus de 700 icônes en CSS, SVG https://css.gg/Eva IconsOpen source. 480 icônes d'un même style en version outlined ou filled. https://akveo.github.io/eva-icons/#/Evericonshttp://www.evericons.com/Feather iconsOpen source, filtres par taille (px), largeur du pinceau et couleur https://feathericons.com/ HeroiconsPetite sélection orientée dev : on copie du code ou on peut exporter vers Figma directement. https://heroicons.dev Icons8134 400 icônes en open source (png et svg) avec un petit encart actualité (icônes Covid-19) sur la home. https://icons8.com/iconsIconsethttps://iconset.io/ Librairie de familles d'icônes, téléchargeable. Gratuit. ICONSVGSélection d'icônes "outline" les plus récurrents et de logos médias sociaux. https://iconsvg.xyz/IkonateIcônes très customisables : on saisit la couleur HEX, taille épaisseur, l'arrondi et on télécharge une ou plusieurs icônes à la fois dans un zip. https://ikonate.com/Ioniconshttps://ionicons.com/ Open source licence MIT, filtre par outline/filled/sharp. Line Icons Catalogue consultable en ligne ou téléchargeable avec accès limité gratuit. Recherche par thème. https://lineicons.comMaterial Design IconsPour le material design de Google https://material.io/Polaris icon explorerLes icônes du design system Polaris par Shopify. https://polaris-icons.shopify.com/Remix IconRessource open source pour des icônes de base (home, mail) en format svg et png. https://remixicon.com/StreamlineWeb app avec une base de données de 30 000 icônes. Accès gratuit à un catalogue réduit. https://streamlineicons.com Julia
Lorsque vous essayez de convaincre une personne de s'inscrire à votre newsletter ne lui laissez pas l'alternative de cliquer sur un lien qui lui ferait honte s'il n'accepte pas. Rudy
Les personnes atteintes d'handicap (notamment avec des déficiences visuelles) ne perçoivent pas les emojis de la même manière qu'un utilisateur sans problème quelconque. Voici quelques bonnes pratiques pour utiliser des emojis à bon escient et de manière accessible à tous : > Utiliser des emojis de temps en temps (pas tout le temps !) ✅. > Placer l’émoji à la fin d’une phrase ou d’un message 👍. > Mettre les informations importantes avant l’émoji ⬅️. > Choisir un emoji pertinent (par son apparence mais aussi par sa description, pour les lecteurs d'écran). > S’assurer que le message a du sens même sans emoji 😇. Voici le lien d'un article très interessant de Anne-Sophie Tranchet qui relate les nombreuses bonnes et mauvaises pratiques à ce sujet : https://blog.hello-bokeh.fr/2020/07/23/des-emoji-accessibles/ morg.clerget@gm
La recherche UX est souvent appelée à régler les débats entre parties prenantes. Mais tous les débats ne se prêtent pas à la recherche. Et ce qui peut être un sujet important pour les parties prenantes, peut ne pas l'être pour le produit. En tant que chercheur UX senior, vous devez être en mesure de conseiller sur la bonne méthode pour la bonne question - mais aussi sur le moment où la recherche ne peut pas apporter la valeur que quelqu'un espère. Réaliser quand la recherche n'est pas le bon outil pour le travail, réaliser quand les ressources sont mieux dépensées ailleurs, et déconseiller de faire la recherche, pour moi est un qualificatif clé de l'ancienneté en tant qu'UXR, et d'une importance clé pour éviter les mauvaises décisions fondées sur de mauvaises données. Marc lauff
Il est important de penser au dashboard à l'état vide. Un utilisateur qui arrive pour la première fois sur un dashboard, n'aura peut-être pas encore de données à observer. À quoi va ressembler son dashboard à l'état vide, à quoi ressembleront les datavisualisations... marjorie.rouffet@gmail.com
Soignez l'expression ! Proposez des phrases courtes, simples et évidentes et bien entendu évitez tout terme trivial ou trop familier. Quant à l'orthographe, il faut se relire (au moins 3 fois chaque slide finalisée) quitte à revenir dessus le lendemain pour laisser reposer votre cerveau ! Amorcer le contenu Avant d'entrer dans un développement détaillé, il est important de résumer sur un premier chart (ou même via une première phrase simple en haut de votre première page), l'idée maitresse de votre exposé à suivre. Cela fait office de transition entre les (sous)parties et permet à votre auditoire / lecteurs à la fois de respirer un peu et aussi de ré-éveiller leur attention. Créer des charts intermédiaires de conclusion A la fin d'un développement significatif, c'est à dire une grande (sous)parties du plan, prévoir une slide de conclusion. Elle permet de refocaliser l'attention mais aussi et surtout de s'élever au dessus des éléments de détail pour passer à une vision plus "solutions" que "perceptions". Idéalement celle-ci doit reprendre les idées maitresses de votre exposé, décliner l'impact de ces éléments mis au jour en lien problématique de l'étude et proposer des pistes de solutions (issues des attentes exprimées par les participants ou de votre expertise). Si face à un problème identifié, il n'y a pas de solution évidente à proposer, il est préférable d'évoquer la nécessité d'engager d'autres études pour creuser un sujet plutôt que de vous hasarder à suggérer trop vite des pistes d'amélioration trop peu certaines. Soyez visuel mais pas à n'importe quel prix ! C'est sans doute le béaba de la communication de résultats mais il faut le rappeler, une image vaut mieux que mille mots ! Pour autant, avoir recours à des visuels uniquement pour créer de l'esthétisme ou remplir un chart peut s'avérer parasitant voire donner le sentiment que votre analyse est creuse. D'après mon expérience, un visuel doit : être une copie d'écran du dispositif testé en lien avec votre constat (tel écran de votre site / appli / prototype, la page d'un concurrent etc.) être une photo illustrative prise lors d'une investigation in situ (lieu de travail collaborateur pour les observations, intérieur du domicile des users pour les ethnos etc.) être un pictogramme (+/- par exemple) être une collection d'illustrations / de visuels symboliques lorsqu'il s'agit de restituer des ambiances, des éléments plus émotionnels complexe à faire passer uniquement via des mots (un peu à la manière d'un moodboard) être un visage typique / significatif pour l'exposé de personae être 1 / des logos de marques (concurrents, routines personae etc.) être assortie d'un minimum 3 points de constats (même courts) pour apporter le contre point analytique et clarifier l'intention ne pas être associé à plus de 6 points de constats (ex. 3 pro et 3 cons) pour ne pas surcharger la page ne jamais être plus grande que la moitié de votre slide, pour ne pas sonner creux ne pas oublier bien entendu les éléments de dataviz (graphiques, diagrammes per ex.) qui peuvent déroger à la règle 9 car ils sont en soit des éléments constitutifs de votre analyse Dernière règle d'or, utilisez des visuels cette fois esthétiques et inspirants pour habiller la charte graphique de vos documents (page de garde, sommaire, pages d'annonces de parties / de transitions). A ce titre si vous avez besoin de trouver des belles illustrations accessibles gratuitement voici deux sites bien utiles ! https://unsplash.com/ https://dribbble.com/ Conclusions / Recommandations Vous arrivez à la fin de votre rapport et vous avez bien souffert, c'est normal !! Notre métier est ainsi fait 🤠 (et bien heureusement, les machines ne sont pas prêtes de nous remplacer car l'interprétation est encore et pour longtemps une faculté humaine complexe à reproduire. Méfiez vous de ceux qui prétendent le contraire !). Je m'égare 🤓. Selon moi les règles d'or pour bien conclure : être succinct ( entre 2 et 4 pages tout au plus), n'oubliez pas les lecteurs / auditeurs disposent du rapport pour revenir dans le détail présenter les informations dans le même ordre que celui abordé dans le corps de l'analyse vous devez énoncer les points poisitfs (ne les oubliez pas, il faut motiver les porteurs du projet) et ensuite énoncer les écueils s'inspirer des pages intermédiaires de conclusions qui (si elles sont bien faites en amont !) vont vous faciliter l'exercice des "conclus et recos". Il s'agit en revanche d'en faire une synthèse des points essentiels et jamais un copié/collé tel quel il faut mixer les éléments phares de constats AVEC les pistes ou solutions d'amélioration (le problème observé ou un point clé de l'analyse + >> la solution pragmatique) ne jamais introduire un nouveau constat ni même une recommandation qui n'ont pas été démontrés et abordés dans le corps de l'analyse ne pas appuyer votre exposé avec des verbatims (il fallait le faire avant !) envisager des nexts steps dans le cadre d'une recherche en plusieurs phases ou bien si l'étude n'a pas permis de comprendre des points essentiels ou de solutionner l'ensemble des éléments de constats réalisés (cela arrive !) placer les éléments d'annexes toujours après les conclusions et jamais avant terminer le document en remerciant le lecteur + c'est le moment également de rappeler qui vous êtes et vos contacts
Les verbatims (écrits ou vidéos) sont essentiels à votre exposé. Ils permettent à la fois d'étayer, d'illustrer et surtout d'appuyer vos raisonnements. Idéalement il est nécessaire d'en proposer 1 pour chaque constat et de manière préférentielle, plusieurs pour rendre compte de la consistance / du détail des perceptions. Si nécessaire et pour ne pas trop alourdir une slide, ne pas hésiter à proposer juste après la page de développement, une page dédiée à la mise en valeur de ces "moments de vérité" . A l'inverse, ne cherchez pas à être exhaustif ! En tant qu'analyste, l'une des peurs clé est de ne pas avoir restitué l'intégralité des propos recueillis de manière fidèle. Mais rappelez-vous, une analyse ou une présentation de résultat n'est jamais une compilation organisée ou un listing de verbatims. Il faut savoir "lâcher" le contenu et être raisonnable quant à leur usage. Attention également, une règle d'or en matière d'usage des verbatims est de ne "faire parler" que ce qui a été démontré / analysé. Le lecteur / auditeur ne doit jamais découvrir dans un verbatim, un élément important de la perception des users qui n'a pas été démontré au préalable dans votre exposé. En d'autres termes, un verbatim n'est qu'une illustration de votre analyse et jamais un constat. Sabri
Il peut arriver de trouver des résultats qui ne sont pas homogènes. Très souvent ce phénomène s'explique par : des cibles sous-jacentes différentes par nature (génération, mindset, culture, besoins, maturité d'usage, habitudes d'achat, critères sociodémographiques etc.) des situations d'usages différentes lors du test des objectifs personnels d'usages différents lors du test des questions mal posées / comprises (et oui !) un paradoxe non résolu au plan analytique (c'est à dire que votre réfléxion doit encore s'aiguiser !) Lorsque le détail des réponses montre des différences significatives il est essentiel d'en comprendre la causalité ... dans ce cas, il faut retourner dans le détail des résultats pour traquer les sources possibles de ces différences, émettre des hypothèses et les valider (ou creuser encore) avec l'observation attentive des éléments précis de perception. Surtout, il est toujours nécessaire de prendre le temps de l'expliquer dans votre analyse. En effet, le lecteur / auditeur doit être guidé dans la complexité de certains résultats et on ne peut lui demander, même si cela apparait évident pour vous, de résoudre seul une "équation" non résolue. Ne laisser jamais trainer des résultats opposés / différents sans avoir pris la peine d'expliquer le pourquoi ! Dernier petit conseil bonus, lorsque que vous partez avec une étude impliquant des cibles potentiellement très hétérogènes, commencez par créer des personae (même si le but de l'étude n'était pas explicitement celui-ci), puis lorsque les résultats diffèrent, splittez votre chart en présentant la variété des données récoltées en fonction de ces différents profils de cibles et leurs logiques propres. Sabri
Être organisé Être autonome Accepter les périodes de vide / Etre patient Accepter les périodes de rush / Etre réactif Savoir dire non Savoir s'entourer Être social (dans la vie pro et perso, sinon c'est la dépression)
(lire la suite)
François Quetier
· Lead product designer
· il y a 2 ans
Un moyen d'engager également les équipes plus éloignées de la user research. Créer un #channel spécial pour cela. Postez les vidéos et autres verbatims des utilisateurs en taguant les gens directement. Effet garanti!
Je travaille en portage salarial et suis donc protégé sur ce point. Néanmoins, il faut avoir de la trésorerie au début, ne serait-ce que pour le matériel ou les logiciels (Sketch, Miro, MS Office, etc.) Ça arrive de facturer des licences aux clients selon le besoin. Ensuite je fais attention au CRA (le Compte Rendu d’Activité) : j'essaye généralement de profiter d’une réunion de synchronisation. Cela leur permet de prendre conscience de ce périmètre et d’être informés rapidement s’il y a des décalages par rapport au budget initial.
Je n’ai jamais eu aucun problème de paiement avec les clients, je pense qu’on attire les clients qui nous ressemblent quelque part. ;) Tout projet démarre avec un devis signé et je suis payée au fur et à mesure que le projet avance, surtout pour les gros projets. Pour les gros projets, je fais signer une lettre de mission et les conditions générales de vente au client, cela nous permet de se mettre d’accord sur notre future collaboration et de revalider ce qu’on s’est dit par téléphone en amont, cela évite les malentendus. Ces deux documents font en général fuir les mauvais payeurs.
C’est toujours très aléatoire ! Cet aspect risque parfois de freiner des projets. De manière générale je demande un acompte. Cela permet de responsabiliser le client et d’avoir une trace de son engagement, même si ce n’est pas forcément efficace quand on veut démarrer rapidement. J’essaie de sensibiliser les clients sur la réalité en freelance. Généralement, si j’ai un bon feeling avec une personne, je fonce. S’il reste des zones d’ombres, je ressens un manque de loyauté, je m’abstiens. Bruno Borey, UX/UI designer
J’ai commencé en tant qu’auto-entrepreneur. C’est un statut que j’ai gardé en faisant du portage salarial : j’étais prestataire à l’entreprise SSI. Ce choix a des conséquences sur la rémunération, il est habituel qu’ils prennent une commission de 6 à 8% mais c’est tout à fait légal et le point positif est que cela régresse avec chaque année de séniorité. Après le portage salarial j’ai monté ma structure en statut SASU. Je suis ainsi dirigeant de mon entreprise en ayant un contrat CDI. Le SASU est un statut qui avait été conseillé par mon expert comptable et qui porte beaucoup d’avantages, dont par exemple le fait que mes affaires personnelles ne seront pas touchées en cas de problèmes budgétaires.
Je suis en portage salarial et profite d’un statut salarié. C’est l’entreprise de portage qui gère la facturation. Par contre, je gère mes frais liés à mon activité (repas, frais de transport, déplacement, outils etc). En portage salarial les avantages sont différents. La rémunération Net est moins intéressante ( autour 10% qu’en statut d'entreprise). Mais il y a des avantages liés au salariat; cotisation au chômage à la retraite, mutuelle de l’entreprise etc… J’ai fait évoluer mon tarif journalier progressivement, dépendant des formations et des besoins clients. Christophe Minost
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Christophe minost
· Design team leader
· il y a 2 ans
Je travaille en portage salarial, ça me donne plus de sécurité et j’accumule des allocations au chômage. Mon entreprise demande chaque mois combien je veux être payé. A l’embauche on se met d’accord sur un salaire net et ensuite on calcule par mois. Dans l’échange avec le client, je mets le nombre de jours dans le devis et je previens le client bien avant qu’on arrive à la fin de ce budget, pour qu’il n’y ait pas de surprises. Florent Dufier
Ne me connaissant pas en marketing, j’ai commencé envoyant des grandes quantités de mails assez basiques. J’ai eu beaucoup de non-réponses mais comme j’étais très motivé j’ai réussi à décrocher quelques pistes. Ensuite il y a beaucoup de bouche à oreille, qui passe souvent par des anciens clients. Depuis plus récemment les clients me trouvent sur Dribbble. Vers la fin de mes missions, je cherche de façon active. Pour ça il vaut mieux avoir sa niche. Dans mon cas, ce sont les grands groupes. Pierre Szuwarski (UX)/UI designer freelance depuis 6 ans
Je multiplie mes tentatives, mais je conseille vraiment de faire des rencontres physiques. Je crois moins en LinkedIn. Tout reste une question de chance, mais en contacte physique on marque plus l’imaginaire. Et puis je fais sorte d’avoir un minimum d’activité régulier : j’enseigne le design dans une école un jour par semaine. Florent DufierUI designer depuis 10 ans, dont 6 ans en freelance Site portfolio : https://florentdufier.myportfolio.com/projects
Le côté trop encadré. J’aime bien le fait de pouvoir échapper un planning et un boss ! Florent DufierUI designer depuis 10 ans, dont 6 ans en freelance Site portfolio : https://florentdufier.myportfolio.com/projects
De travailler toujours pour le même patron. J’apprécie le fait de pouvoir travailler où je souhaite, le télétravail était déjà très courant même avant la crise sanitaire. Pour ma part, en travaillant chez moi je suis plus productif. Pierre Szuwarski (UX)/UI designer freelance depuis 6 ans
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Un livre blanc en 5 grandes parties : + Audit : état des lieux de l'existant & de la proposition de valeur +Définition : challenger, prioriser, définir un budget performance +Idéation : élaboration des concepts systémiques dans une démarche de sobriété + Design des parcours & des interfaces selon les guidelines d’éco-conception + Développement : prise en compte des impacts environnementaux tout au long du développement de son app/site m.billon@useradgents-
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