En tant que chercheur et neuroscientiste, je suis souvent confronté à la question des responsabilités et des droits d'exécution des différents examens de la vue. Lors d'une récente réunion avec mes collègues orthoptistes et optométristes, j'ai proposé une nouvelle organisation pour clarifier ces responsabilités. Ma proposition consiste à établir un protocole clair, définissant les examens que chaque professionnel peut réaliser en fonction de sa formation et de ses compétences. Par exemple, les optométristes pourraient se concentrer sur les examens de la vue de routine et la prescription de lunettes ou de lentilles, tandis que les orthoptistes pourraient gérer les rééducations visuelles et les bilans de motricité oculaire. Quant aux ophtalmologistes, notre rôle serait de nous concentrer sur les diagnostics complexes, les examens invasifs et les traitements chirurgicaux. Cette répartition des tâches permettrait non seulement une meilleure efficacité mais aussi une meilleure prise en charge du patient. Pour y parvenir, je suggère de mettre en place des formations interprofessionnelles régulières, permettant à chaque professionnel de comprendre les spécificités et limites des autres spécialités. Cela favoriserait une meilleure communication entre nous et optimiserait la prise en charge des patients. Enfin, je pense qu'il est essentiel d'inclure une clause de réévaluation périodique de ce protocole, pour s'assurer qu'il reste adapté aux évolutions de nos métiers et aux besoins des patients. J'aimerais connaître votre avis sur cette proposition et discuter ensemble des moyens de la mettre en œuvre efficacement
Lorsqu'on utilise un produit numérique, on vient pour le contenu. On le consulte, on le crée, on le manipule. On ne vient pas pour les aspects purement visuels ou techniques. Le contenu est donc l'élément premier de votre produit. On peut catégoriser ce contenu en deux groupes : les contenus cœur ou métier. Ca peut être du texte, des images, du son, des vidéos, des graphes, des données, des PDF, et les mails aussi (ne pas oublier). les contenus liés à l’interaction et la navigation (boutons, menus, …), appelés aussi microcopy.
(lire la suite)
Nathalie Rosenberg
· Lead UX designer
· il y a 1 an
Hello ! Je travaille sur la création d'un outil de maturité d'UX Research et j'ai besoin d'aide pour l'améliorer s'il vous plait ! Pour l'instant, les questions, le scoring et l'automatisation de l'analyse de données est posée. Mes interprétations ne sont pas encore très bien adaptées et je pense que le bilan pourrait être amélioré. Je n'ai pas encore fait l'automatisation de l'envoi du bilan donc il y a un délai de 24h environ. Si vous avez 5 minutes et que vous voulez m'aider, cliquez sur ce lien. Un grand merci 🙏
(lire la suite)
Sophie Vancompernolle
· UX Researcher
· il y a 1 an
"Je suis empathique, donc je suis destiné(e) à une carrière en UX." L'empathie est souvent mentionnée par les candidat(e)s à un poste UX pour mettre en avant leur profil. Ce terme est désormais systématiquement assimilé aux processus de design centré sur l'utilisateur, aux compétences requises pour faire carrière, et bien entendu aussi au design thinking. S'il est vrai qu'un professionnel de l'UX doit pratiquer l'empathie, on se réfère ici bien à un compétence acquise et appliquée et non à une qualité innée. Ce concept est très bien illustré dans le livre "Practical Empathy For Collaboration and Creativity in Your Work" d'Indi Young. Elle y fait notamment référence aux différents type d'empathie et l'empathie cognitive, sur laquelle se base le design centré sur l'utilisateur. Daniel Goleman, souvent désigné comme "le père de l'intelligence émotionnelle", a identifié 3 types d'empathie et décrit l'empathie cognitive comme "cette curiosité naturelle pour la réalité des autres". Contrairement à la compassion ou encore à l'empathie émotionnelle, elle se base sur l'appréhension et la compréhension des modèles mentaux, de l'environnement et du schéma émotionnel de l'autre. Comme le décrit très bien Indi Young dans son livre, c'est une compétence qui demande une certaine rigueur dans l'écoute, l'assimilation et le détachement de ses propres biais. L'empathie cognitive s'apprend et se pratique, elle n'est en rien une qualité, ou un trait de caractère. Aussi, dans vos portfolios, entretiens et lettres de motivations, soulignez votre pratique de l'empathie, ce qui vous rend compétent(e)s en la matière, votre processus d'écoute, de découpe, d'analyse, pour assimiler les non-dits, les motivations, le point de vue de vos utilisateurs. Cela vous vaudra l'empathie de vos pairs et aura le mérite de montrer votre réelle compréhension d'un terme trop souvent usurpé :)
(lire la suite)
Marie-Aude Sourd
· Senior UX researcher
· il y a 1 an
Un UX researcher à partagé sur Linkedin un framework utile pour répondre aux questions que vous recevez durant vos entretiens et qui est utilisé de manière générale en Silicon Valley. ----- Voir plus sur Linkedin---------- Use the STAR method (it's highly used at FAANG companies) STAR = 1. Describe the situation you were in 2. Talk about the task and goal you were trying to accomplish 3. Walk through the specific action(s) you took to address the situation and goal 4. Explain the result of your actions and what impact you had based on those actions
(lire la suite)
Alexis Gérôme
· Staff UX researcher
· il y a 2 ans
Voici un post intéressant de Sébastien L'hoste sur la posture du designer que je repartage ci-dessous car il vaut la peine d'être sauvegardé. ------------------ Voir plus avec le Lien linkedin------------- Face à un problème, le designer 2022 doit faire 3 choses avant de commencer à réfléchir à une solution : 1️⃣ reformuler le problème → si la reformulation montre que le problème n’existe pas, le process s’arrête là. 2️⃣ évaluer la nécessité de remédier au problème → si l’existence d’un produit ou service pour répondre au problème s’avère moins pertinente que son inexistence, le process s’arrête là. 3️⃣ vérifier qu’on peut supprimer le problème plutôt que le résoudre → écrire le problème sous forme d’équation. Souvent il suffit de supprimer un terme de l’équation pour supprimer le problème. Si on peut supprimer le problème, le process s’arrête là. Pour le designer 2022, produire une solution à un problème est déjà un constat d’échec. Le designer 2022 ne doit plus être un “problem solver”. Le designer 2022 doit être un “problem killer”.
(lire la suite)
Alexis Gérôme
· Staff UX researcher
· il y a 2 ans
Je viens de voir passer dans mon feed linkedin ce post qui fait écho à ce que vis régulièrement auprès des équipes produit. Il est partagé par une directrice de recherche qui mentionne bien. Les tests d'utilisabilité répondent à la question: Nos utilisateurs sont-ils capables d'utiliser ce produit ? Non à : Utiliseront-ils ce produit ? ( en vrai !) Comme il est d'adage de répéter, vous pouvez avoir un super produit utilisable, ergonomique etc mais qui ne répond pas de manière supérieure aux besoins de vos utilisateurs. (comparé aux options existantes) Notons aussi que pour répondre à ces questions, vous pouvez faire toute la recherche du monde mais c'est en lançant vraiment que vous observerez ce qu'il se passe. (D'où l'utilité de soft launch, beta fermée etc..) Avant de se lancer dans la construction et le développement, la phase d'UX stratégie est primordiale et permettra de placer le produit dans la bonne configuration.
(lire la suite)
Alexis Gérôme
· Staff UX researcher
· il y a 2 ans
Kevin UX researcher (Quanti) chez Google à mentionné que le risque de mauvaise interprétation d'un set de 100K de personnes est encore plus risqué que l'interprétation d'une recherche quali de 10 personnes. Très bon reminder à garder en tête comme argument, surtout avec des stakeholders qui cherche souvent de plus gros dataset sans prendre en compte les risques. Lien du post: https://www.linkedin.com/posts/cortikevin_ux-research-uxresearch-activity-6884277568007110657-De3i
(lire la suite)
Alexis Gérôme
· Staff UX researcher
· il y a 2 ans
Je ne pense pas qu'un "code d'éthique du designer" (en générale) aide réellement à résoudre (ou dissoudre) les problèmes éthiques qu'il prétend addresser. Le modèle d'incitations (incentives) sur lequel il repose ne permet pas de garantir un changement de comportement durable car (à la différence des modèles dont il s'inspire) il manque certains facteurs clés (institutions, contrôle par les pairs, régulations, etc.). De plus les codes de conduites sont très souvent totalement aveugles des spécificités des contextes dans lequel s'applique se qu'il tente de réguler –causant toutes sorte de "zones grises", frustrations, contournements, etc. Sur le sujet, le consensus croissant des experts du domaine de l'éthique du travail (business ethics) préconisent d'éviter les modèles "rules & compliance" (qui ont montrés leurs limites) et plutôt de ce concentrer sur le développements d'espaces de discussions où les craintes et questionnements (des designers, développeurs, clients, utilisateurs, etc.) soit favorisés, légitimés, valorisés, écoutés, et pris en considération avec des décisions & actions business & design en conséquence → https://youtu.be/Uf_Q_PxWz1M
Au clic sur "What's new feed", le nombre de notification devrait selon moi disparaitre. Dans l'onglet "Tendance", il y a un "voir plus 10" qui se balade en haut et qui n'est pas visible sur les autres onglets. Je pense que nous devrions le masquer ici également.
(lire la suite)
Erwan Lumbroso
· Senior product designer
· il y a 3 ans
La photo de profil et le nom ne sont pas bons L'éditeur pour écrire le message devrait être le même que celui utilisé pour la création d'un post Je trouve que l'on donne beaucoup d'importance à la partie "Anonyme". La checkbox ainsi que le texte me paraissent un peu trop gros.
(lire la suite)
Erwan Lumbroso
· Senior product designer
· il y a 3 ans
Hello! Quelques petits détails sur le panneau de filtre: lorsque je sélectionne une pillule dans le panneau de filtre, je m'attendais à pouvoir la déselectionner en cliquant dessus, pas uniquement sur la petite croix: lorsque j'ouvre le panneau de filtre, puis que je sélectionne une pillule, puis que je clique sur l'overlay pour fermer le panneau, le filtre ne s'applique pas (ce qui est normal), cependant il indique tout de même "1 Filtrer". Je pense que le bouton devrait rester "Filter" car rien n'est appliqué:
(lire la suite)
Erwan Lumbroso
· Senior product designer
· il y a 3 ans
Ca va de pair avec l'UX writing : avoir des titres tronqués pour que ça tienne sur une ligne, ça n'aide pas à la compréhension globale. Sur l'exemple ci-dessous, il serait utile d'avoir l'ensemble du titre. semble que rien ne justifie la coupe.
(lire la suite)
Nathalie Rosenberg
· Lead UX designer
· il y a 3 ans
Un groupe pour poser vos questions et partager vos astuces, ressources, outils, et actualités sur la situation réglementaire et juridique de notre domaine.